Chris
Jericho

Votre citation Feat ''Christopher Keith Irvine'' Âge : 313 ans. Date de naissance : le 27 juin 1700. Nationalité : Russe d’origine, mais à présent Anglais. Sexualité : Hétéro. Amour : Célibataire. Décris-toi en 3 mots : Orgueilleux, aventureux, curieux. Avatar choisi : Je suis un loup et alors ?

Parle-nous de toi, qui es-tu ?

Physique : Chris mesure un mètre quatre-vingt-huit pour un poids de quatre-vingt-sept kilos. Il a les cheveux brun avec des mèches blondes, ses cheveux sont coupé courts. Ses yeux sont bleu, légèrement gris. A cause du travail forcé quand il était esclave sa musculature est très développée. Sa voix est aussi très grave. De plus il possède un tatouage sur l’annulaire gauche. En civile Chris est bien souvent habillé en jean, vous le verrez rarement avec un simple survêtement, car il trouve cela trop négligé. Il s’habille généralement qu’avec des vêtements de marque, la présentation ça compte.

Sous sa forme de loup garou Chris mesure environs deux mètres soixante, pour un poids avoisinant les deux cent cinquante kilos. Il est également incapable de parler comme un simple humain. Une montagne de muscle, monté sur des jambes massives taillées pour la chasse et le combat. Les avants bras de Chris sont puissant, suffisamment pour trancher un homme en deux. Les poils du lycan sont pour la plupart noire, avec une tache blanche sur la raie dans le dos.

Caractère : Chris est un excellent orateur. Très doué pour se sortir des ennuis, il est aussi très doué pour s’en attiré. Il est très cassant et considèrent les gens comme de vulgaire parasite, bon parfois il peut en cas de circonstance devenir quelqu‘un de sympathique. Il est très orgueilleux, peut-être trop parfois. Le jeune homme se croit malheureusement un peu au-dessus de tout le monde. Ce mauvais caractère fait qu’il a peu de relation sociale stable. Un de ses plus grand défaut et aussi une des plus grandes qualités c’est qu’une fois qu’il a pris confiance, et qu’il apprécie la personne il sera prêt à tout pour aider là dit personne. Tantôt vantard, tantôt calme notre beau brun aime draguer les jolies femmes, le plaisir de draguer une femme. Et avec un peu de chance si elle refuse le loup reste calme. Ou pas.

Chris est plutôt du genre bagarreur, n’hésitant pas à aller à la castagne s’il le faut. Sous sa forme humaine il est calme, mais lorsqu’il est trop poussé à bout son sang de loup se met à bouillir et il a tendance à se transformer et à massacré celui ou celle qui l’aura provoqué. La chasse est l’un de ses péchés mignons, le loup peut passer des heures et des heures à traquer une proie. L’odeur de la peur, du sang est des plus alléchantes aux babines de la créature. Il a cependant une règle d’honneur, ne jamais s’attaquer aux enfants. Ce qu’il a vécu dans son enfance l’ayant traumatisé, il ne supporte pas les tyrans et les hommes de pouvoirs.

Raconte-nous ton histoire!

As-tu déjà été esclave..? Moi oui. Ma vie, si je peux appeler sa une vie à débuter dans un triste endroit. Ma mère et mon père, si on peut appeler ça des parents m’ont créé un 27 juin. Ma mère accoucha de moi neuf mois plus tard. Une famille normale se doit de vivre dans une maison et de tout faire pour que son enfant s’en sorte.

Mais la mienne était esclave. Esclave du pire des hommes. Marko. Cet homme dirigeait une espèce de cirque, ou il avait des attractions horribles. Il mettait des hommes en scène dans des ballets monstrueux. Des hommes massacrés par des créatures qui me faisait frissonner rien qu’as les entendre respirés. Nous somme en 1710.

Mon père fini entre les crocs d’une de ces créatures, un soir ou la salle fut à son comble. Sa mort rapporta dans les trois, peut être quatre mille dollars à Marko. Un cirque des plus étranges, penserez-vous ? Hmm jamais je ne dirais le contraire.

A mes 17 ans j’étais à quatre pattes à nettoyer les cages de ses animaux de cirque. Je ne fis pas attention ce soir-là. C’est surement ce qui me couta ma vie de mortelle. En nettoyant la cage je me mis dos à une autre. Mais un humain ne sera jamais assez vif pour éviter une créature-t-elle qu’un lycan. Des énormes pattes griffues m’écrasèrent contre les barreaux, et des dents grandes comme des couteaux s’enfoncèrent dans ma chair. Je senties les crocs de la bête s’enfoncé dans ma chair. Un hurlement de douleur sortit de ma gorge, et des larmes se mirent à coulés de mes yeux. Le sang dégoulinait le long de mon bras. La douleur me fit m’évanouir.

Tu te réveilles et te demande si c’était qu’un simple cauchemar. Mais tu remarques que la cage que tu nettoyais est verrouillée. Et là tu te rends compte qu’il y a un problème. C’est toi qui es enfermé dans la cage comme une bête. Tu tâte ton épaule et tu touches les plaies.

Ma première réaction ? J’ai pleuré. Oui pleuré en me disant que mon existence était ruiné et que j’allais finir comme ces bêtes à mourir et tué pour cette enfoiré de Marko. Tu te rends aussi compte que tes aptitudes on changés. Tu es plus vif, rapide. Ton ouïe est surdéveloppée. Et ma force…Ma force n’as jamais été aussi grande. Je me sens bien. Mais avec tous ces côtés positif je n’ai quand même qu’une envie, ne plus jamais revivre ça.

-Alors le chien, lâche Marko.Comment tu te sens ce matin ?

Et la violence. Toute cette haine que j’ai contenue pendant tant d’années, je m’approche violemment des barreaux. Ma mâchoire est serrée. Et il s’en va avec son rire gras. Cet enfoiré devra mourir, de mes mains. Je l’éventrerais et je le laisserais mourir en baignant dans son propre sang.

Deux jours plus tard, il me fait emmener dans son bureau. Une pièce insonorisée, éclairée par quelques bougies. Mes yeux reflètent la lueur des bougies, étonnant comme je peux entendre la chaise de son bureau craqué sous son poids. Finalement cette foutue transformation n’est peut-être pas si mal… Les deux gardes me poussent violemment dans le dos afin que je m’avance devant le bureau de Marko.

-Reste debout le chien. Demain soir je te laisserais voir ta première pleine lune, et alors aura lieu ta première transformation. Ah ce moment-là, tu tueras. Et j’ai la personne qu’il faut pour ça. Tu ne devines pas ? Vraiment ? Ta mère, tu sais je crois qu’elle est au bout du rouleau, et qui mieux que son fils peut mettre un terme à sa vie ?

-« Marko… Je vais te tuer…T’arracher les yeux… Te briser les os…T’arracher les tripes du ventre ! »Je perds le contrôle de moi-même.

Mais il ne répond pas il rigole. Pour la première fois je remarque une fenêtre dans sa pièce. Au niveau du plafond, les nuages s’écartent…. La lune. Elle est pleine. Je sens mon sang bouillir, mes os me font mal et mon crane aussi. Je tombe à genoux et ma cage thoracique. J’ai l’impression que quelque chose pousse pour en sortir. Mes doigts s’allongent. Ma tête change, les poils poussent. Et Marko cet abruti fini reste là à me regarder. Je me relève, je devrais être une bête et pourtant je sens que je me contrôle. Les deux gardes me sautent dessus en hurlant. Peut-être pour se donné du courage. Je tue le premier en lui enfonça mes griffes dans le ventre, et je broie la tête du second entre mes mains. Finalement, avec une sorte de doux grognement je me tourne vers Marko. C’est terminer. Il le sait et je le sais. Et je sens cette odeur qui me pique la truffe, il s’est souillé. Impropre humain, juste bon à mourir.

J’attrape violement Marko par l’épaule. Il pleure, comme c’est amusant. Je m’approche doucement de sa gorge. Reniflant l’odeur de la peur qui s’échappe par tous les ports de sa peau. Puis d’un geste violent je m’attaque à sa gorge. Je sens mes crocs s’enfoncer dans sa trachée artère, alors qu’il tente d’implorer ma pitié dans un gargouillis, alors que cette dernière est devenue inexistante. Son sang chaud coule de mes babines, il est mort. Je me réconforte dans l’idée que je n’ai pas été barbare, je me suis simplement vengé.

Je suis parti de ce cirque. J’ai abandonné ma mère, et toute cette vie-là. Et j’ai atterrie ici, dans cette ville qui m’est inconnue. Que vais-je découvrir ici…Je ne le sais pas moi-même. Mais ma vie à évolué durant toutes ces années. J’ai grandi, tout du moins muri. Je me suis même fait des amies, qui sont bien évidemment décédés. La perte des proches n’est jamais simple. Et puis du jour au lendemain je me suis retrouvé prit dans une guerre entre loup et chauve-souris. Une guerre, comme si le monde avait besoin de ça… Mais quoi qu’il en soit, aujourd’hui je suis là.